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31 octobre 2010 7 31 /10 /octobre /2010 21:53

Il y a une énorme confusion en ce qui concerne la sainte cène et la manière dont celle-ci doit être célébrée.  Je vais sans doute en étonner certain, mais la sainte cène telle qu’on la connait et pratique dans les milieux évangéliques, n’est pas Biblique. Voilà qui devrait rassurer ceux qui prennent le pain et le vin chaque dimanches matin en se demandant au fond d’eux : « en suis-je digne ? »

Ce rite ajoute un peu plus de culpabilité inutile à tous ces croyants Chrétiens qu’ils soient protestants, évangéliques ou autres, en les enfermant dans une sorte de superstition religieuse dont la source remonte à l’institution de l’eucharistie par l’église de Rome. Cette église enseigne que « Par l'effet des paroles de l'Épiclèse (invocation à l'Esprit-Saint) et de la Consécration prononcées sur le pain et sur le vin pendant le sacrifice de la Messe, ces deux éléments sont dépossédés de leur substance propre.

Sous le voile des apparences de ce pain et de ce vin, se trouvent le corps et le sang du Sauveur Vivant, et par conséquent aussi son âme et sa divinité, c'est à dire Jésus-Christ tout entier, vraiment réellement et substantiellement. Sous ces espèces ou apparences ne se révèlent donc pas figurativement un souvenir, une image, un symbole, mais le vrai corps substantiel et réel de Jésus-Christ. »

L’impression et la peur causé par ces fausses révélations étaient tellement bien ancrées dans l’esprit des gens, que même les Réformateurs ne purent réussir à les en extirper. Aujourd’hui encore beaucoup de croyants voient dans la sainte-cène un certain pouvoir rénovateur voir miraculeux. Ceux qui se sentent coupable d’un quelqu’onque péché et ne prennent pas la sainte-cène se font aussitôt remarquer et l’on s’interroge sur leur sort. Doit-il en être ainsi ?

 Nous sommes bien loin de ce que Yeshoua(Jésus) a voulu nous enseigner au soir de sa mort.

Il y a quelque temps, j’ai trouvé un très bon texte qui éclaire un peu plus le lecteur au sujet de la sainte cène, et qui me parait être très important. Je cite :

« J'ai longtemps réfléchi sur l'origine de la Sainte Cène. Tout d'abord nous ne voyons jamais ce mot dans les Évangiles et encore moins dans les épîtres de Paul ou d'autres disciples de Yeshoua dans les années qui ont suivies la mort et la résurrection de notre Adon Yeshoua Ha'Mashiah ! Alors d'où vient cette tradition ? Est-ce que cela n'est pas un rite qui vient du paganisme ? De quoi s'agit-il au juste ? Un rite au nom d'une divinité du soleil venant de la Babylone Antique, repris également par la mythologie romaine, que l'assemblée de Rome a reprise à son compte pour nous faire croire que c'est le vrai repas du Seigneur, celui dont Yeshoua aurait pris avec ses apôtres la veille de sa mort. Que dire de plus si ce n'est que les fidèles croient fermement en la présence réelle de « Jésus » dans le pain et le vin. D'ailleurs ils appellent cela le sacrifice de la messe. Cela n'est pas biblique car depuis la mort et la résurrection du Mashiah, il n'y a plus de sacrifice. 

D'autres dérives en découlent, celles des protestants et des évangéliques. C'est à ce moment-là que le mot Sainte Cène apparaît me semble-t-il. Ils ne croient pas en la présence réelle de « Jésus » dans le pain et le vin, mais ceci une commémoration de ce qu'il a fait au dernier repas lorsqu'il a béni le pain et la coupe. Je pense que cette institution humaine est due à une mauvaise connaissance des rites qui se pratiquaient au temps de la fête de Pessah, qui n'est pas une fête juive j'ose précisez ici, mais une sainte convocation de l'Éternel. Que Hashem soit béni ! Même si dans certaine assemblée l'hostie est remplacée par du pain de boulanger ou par du pain azyme, il n'en reste pas moins que cela n'est pas le repas du Seigneur proprement dit si nous croyons véritablement en la Parole de Dieu. Beaucoup de « folklore » se déroule à ce moment-là. L'assemblée de Rome a instauré un âge pour que l'enfant puisse prendre part à la communion ou eucharistie, ce rite est la 1ère communion, cela se déroule vers 9 ou 10 ans. Cela se passe des années après son baptême en tant qu'enfant. Ce baptême qui est une dévotion à la divinité du soleil où l'enfant entre dans l'église accompagné de son parrain et de sa marraine. C'est l'assemblée qui dit « oui » car l'enfant n'a pas l'âge de parler et de comprendre ce que lui dit le prêtre. Ce rite est repris par les églises protestantes réformées. Dans d'autres assemblées, seuls les fidèles baptisés par immersion peuvent participer à la Sainte Cène. Je n'ai vu cela nulle part dans la Bible de Béréshit (Genèse) à Révélation (Apocalypse). Le seul repas que je vois c'est le repas pris à Pessah (Pâque). C'est de ce repas que nous parle le Shalliah (Apôtre) Shaoul (Paul) de Tarse au chapitre 10 de la 1ère lettre aux disciples de Corinthe. Le chapitre 11 nous en parle également. Remettons cela dans le contexte que Paul a écrit cela. Il s'adresse à des païens qui ont donné leur vie à Yeshoua et qui semblerait, seraient retombés dans les pratiques anciennes.

 La tradition chrétienne veut que « Jésus » aie institué l'Eucharistie ou la Sainte Cène. Pour moi Yeshoua n'a rien institué ou instauré ce jour-là. Il a fait qu’appliquer ce qui se déroulait déjà au cours du Séder de Pessah comme nous l'avons vu. (http://shofar.free.fr/SEDER%20DE%20PESSAH.html ) Même si Yeshoua a prononcé une bénédiction nouvelle (kidoush) ce jour-là, ce n'est pas pour autant qu'il a institué l'Eucharistie ou la Sainte Cène. D'ailleurs d'où vient le mot « Cène » ? Voilà ce que nous pouvons lire sur :http://fr.wikipedia.org/wiki/C%C3%A8ne 

L'assemblée de Rome c'est totalement séparée d'Israël et des juifs pour remplacer volontairement Israël, pour ne plus être greffé sur l'olivier franc que nous parle Paul aux disciples de Rome (chap. 11) Les assemblées orthodoxes et chrétiens orientaux n'ont guère fait mieux. Eux aussi se sont coupés du vrai Dieu. Jusqu'au 4ème siècle de notre ère, les 1ers disciples de Yeshoua respectaient les lois données par Elohim à Moshé Rabbinou. Il est vrai que par la suite les chefs religieux avaient instaurés d'autres lois, aujourd'hui ils sont remplacés par les Rabbins. Plusieurs courants sont issus du judaïsme, comme il se trouvait autrefois au temps de Yeshoua. C'est réforme que Yeshoua est venu faire en venant chez les siens pour que la loi soit moins lourde à porter, qu'elle ne soit plus un fardeau. Mais Yeshoua n'a pas enlevé les fêtes de l'Éternel pas plus que le shabbath. Pour en revenir à la Sainte Cène, nous voyons que Yeshoua nous parle d'une nouvelle alliance en son sang, les chrétiens ont seulement gardé cette formulation nouvelle, lorsque Yeshoua a partagé le pain et partagé la coupe de vin avec ses apôtres. Ces Paroles qui sont repris par les prêtres ou les pasteurs au moment de ce rituel. Les chrétiens ont retiré cette partie de son contexte. Ils ont oubliés ce qui se déroulait au tour de cette coupe et de ce pain. C'était au cours d'un repas. Aujourd'hui ce repas c'est l'Eucharistie ou la Sainte Cène, ce n'est plus le véritable repas pris le jour de Pessah. Que chacun réfléchisse à ce qu'il fait en prenant cela chaque dimanche à quelle coupe est-il en communion et quel pain partage-t-il ce jour-là ? Je me suis souvent posés la question et je vous laisse y répondre à votre tour en votre âme et conscience devant Dieu. » (Sources G.D forumeretzisrael)

 

Pessah (Sources Bethyeshoua)

 Le "kidoush" ou "sainte cène" célèbre une fois l'an le sacrifice de l'agneau immolé, célébration de la libération de l'Egypte, symbole du pardon des péchés par le sang. Ce kidoush est pris avec de la matzah (du pain sans levain) suivi par le vin que l'on boit dans la cinquième coupe.

Le "kiddoush Hashem, en hébreu קידוש השם signifie la "sanctification du Nom de Dieu". Ce mot en dit long déjà sur l'activité qui va suivre : le partage du pain et du vin sanctifiés, consacrés et qui célèbrent un événement biblique : le sacrifice de l'agneau pascal en rémission des péchés. Seul le sang versé, nous dit Moïse, peut pardonner nos péchés. Hébreux 9:22 "Et presque tout, d’après la loi, est purifié avec du sang, et sans effusion de sang il n’y a pas de pardon". Aujourd'hui le sacrifice parfait de Yeshoua l'Agneau de Dieu nous sanctifie : "Or, c’est par lui que vous êtes en Yeshoua HaMashiah, lequel, de par Elohim, a été fait pour nous sagesse, justice et sanctification et rédemption" (1 Corinthiens 1:30).  Un "kiddoush Hashem" désigne donc tout acte par lequel on est amené à reconnaître et louer le Dieu d'Israël.  "Vous ne profanerez pas Mon Nom de sainteté et Je serai déclaré Saint au milieu des fils d'Israël" (Lévitique 22:32)

Le mot Kidoush dérive au mot Kadosh "saint". Le Kidoush est la prière de sanctification du shabbat et des jours de fête, récité ou chanté en même temps que l'on élève une coupe de vin. La bénédiction commence par un rappel du fondement du shabbat dans la Création. Puis la bénédiction sur le vin intervient. Cette bénédiction sur le vin n'en modifie pas la nature physique. Finalement est rappelé la sortie du pays d'Egypte. Le shabbat nous fait sortir de l'esclavage des six jours profanes pour rentrer dans ce jour exclusif réservé à Dieu, le jour de shabbat.

Qui peut prendre le kidoush messianique ?

Uniquement ceux qui sont en règle avec Dieu, à savoir ceux qui croient en Yeshoua le Rédempteur, qui sont nés de nouveau et qui se sont repentis de leurs péchés. Ceux qui ne sont pas en règle ou ceux qui ne se sont pas repentis de leurs péchés, encourrent donc une condamnation qui peut même être suivie de maladie physique et même de mort. C'est le pain de la consécration et de la sanctification. "Vous serez saints, car Je suis Saint". L'apôtre Paul met en garde de la façon de prendre le kidoush indignement : "23 Car j’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné ; c’est que le Seigneur Yeshoua, dans la nuit où il fut livré, prit du pain, 24 et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit : Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous ; faites ceci en mémoire de moi. 25  De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit: Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang ; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez. 26  Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. 27  C’est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur. 28  Que chacun donc s’éprouve soi-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe; 29  car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même. 30  C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre sont morts." (1 Corinthiens 11:23-30)

Le pain et la coupe

Dans la fête de Pessah, 4 coupes de vin sont diluées avec de l'eau et une cinquième coupe appelée par la tradition "la coupe d'Elie" n'est touchée par personne. Lorsqu'après le Seder de Pessah, Yeshoua a pris "LA" coupe", les apôtres ont eu la confirmation qu'il était vraiment le Messie car personne d'autre que Lui ne pouvait toucher à cette coupe. Après le repas, selon 1 Corinthiens 11:23  le Seigneur a pris "LA" coupe c'est-à-dire la cinquième coupe selon Luc 22:20. A Pessah, on prend du vin d'abord puis de la matzah, du pain sans levain, signe de l'agneau sans tache.

 

Pour conclure :

 1)- Le "kidoush" ou "sainte cène" célèbre une fois l'an le sacrifice de l'agneau immolé, célébration de la libération de l'Egypte, symbole du pardon des péchés par le sang. Ce kidoush est pris avec de la matzah (du pain sans levain)suivi par le vin que l'on boit dans la cinquième coupe.  Ne participe uniquement ceux qui sont en règle avec Dieu, à savoir ceux qui croient en Yeshoua le Rédempteur, qui sont nés de nouveau et qui se sont repentis de leurs péchés. Ceux qui ne sont pas en règle ou ceux qui ne se sont pas repentis de leurs péchés, encourent donc une condamnation qui peut même être suivie de maladie physique et même de mort. C'est le pain de la consécration et de la sanctification. "Vous serez saints, car Je suis Saint". 

 

2)- La fraction du pain : Le VIN : En Luc 22 :17, les disciples partageaient entre eux "une" coupe, c'est-à-dire une des 4 coupes diluées. Cette coupe représente le vin de la vigne, fruit et arbre prophétique d'Israël. La vigne représente dans la Bible la vie religieuse d'Israël et la racine divine de la communication avec ELOHIM - communion avec le CEP. Deux utilisations du vin pour deux activités différentes : à Pessah, la vigne représente la communication avec Dieu au travers du sang de Yeshoua, alors qu'au shabbat ce même vin représente la vie religieuse d'Israël.

Le PAIN : Le "partage fraternel" ou "communion fraternelle" est la fraction du pain de chaque semaine citée dans les actes et se déroule tous les vendredis soirs au coucher du soleil. La "HALA" qui est fréquemment utilisée est un pain levé - pain tressé - qui est le même mot hébreu utilisé pour les 12 pains de proposition dans la tente d'assignation selon Exode 25:30. Ce pain levé est préparé chaque semaine depuis des siècles par ceux de la tribu de Kehat. Le mot "Kehat" est d'ailleurs à l'origine de la "kehila" c'est-à-dire "assemblée" - "Parmi les fils de Qehatites, certains de leurs frères étaient chargés de la préparation du pain de proposition pour chaque shabbat." (1 Chroniques 9:32)

C'est en général la maîtresse de maison qui récite la bénédiction accompagnant ce geste. Ces bougies s'appellent Nérot shel shabbat "les bougies de shabbat". L'allumage des bougies donne une lumière qui doit éclairer la table du repas de shabbat. La lumière des bougies du Shabbat efface l'obscurité apportée par le péché. Après les bénédictions et l'allumage de 2 bougies (symbole de l'unité juifs-gentils) en signe d'ouverture du shabbat, on prend d'abord le vin et puis le pain levé. Ce pain est levé car nous sommes tous des pécheurs lavés dans le sang de l'agneau et nous ressusciterons tous avec Yeshoua HaMashiah. Selon la tradition, il y a contact entre le sel et des morceaux de Halot avant consommation. La Mapa (le napperon) cache l'offrande car à l'époque du Temple, seul le prêtre était en mesure de valider l'offrande, le sel atteste de la validation. Le sel conserve les aliments, le sel a été donné en exemple par Yeshoua "vous êtes le sel de la terre" (Matthieu 5:13). 

Ce pain levé est pris en toute liberté dans les familles juives. Dans l'assemblée messianique, les enfants peuvent en prendre autant que les pécheurs. Il n'y a aucune condamnation ni risque d'en prendre indignement. Une confirmation nous est donnée par le Roi David qui s'est permis de manger du pain de proposition lorsque lui et ses compagnons avaient faim. Pour le Roi David il n'y avait évidemment aucun lien ni rapport entre le pain sans levain sanctifié du sacrifice de Pessah et les pains de proposition symboles des tribus d'Israël.

(Sources Bethyeshoua)

 

 -  Donc attention à ne pas confondre :

1) le kidoush messianique ou "sainte cène" tel qu'enseigné par la Bible suivant la tradition juive à Pessah et qui est différente de :

2) la fraction du pain citée dans le Nouveau Testament en Actes 2:42 qui est faite chaque vendredi soir à "Erev Shabbat" dans toutes les familles juives lors de l'allumage des bougies.

 

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commentaires

A
Merci pour ce message! Je l'ai copié pour la publié afin de convaincre grand nombre de croyants encore ignorants. Merci pour ce que vous faites.
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D
Shalom,<br /> <br /> Je cite : Le PAIN : Le &quot;partage fraternel&quot; ou &quot;communion fraternelle&quot; est la fraction du pain de chaque semaine citée dans les actes et se déroule tous les vendredis soirs au coucher du soleil.&gt;<br /> <br /> Je ne crois pas que les envoyés (apôtres) prenaient le pain et le vin tous les vendredis soirs au CDS,je crois qu'ils prenaient simplement leur repas. En plus quand il est parlé qu'ils rompaient c'était le premier jour de le semaine.<br /> <br /> Je ne vois pas où il est ordonné en dehors du repas de Pessah' de prendre le pain et le vin ?<br /> <br /> Par ailleurs, nulle part dans la Bible il est question de prendre 4 ou 5 coupes ! Seul Luc parle de 2 coupes.<br /> <br /> Il est salutaire de ramener aux Ecritures concernant le seder de Pessah' et non une soi disant &quot;sainte cène&quot; mais il serait tout aussi salutaire de mettre en garde contre les traditions juives ici, des hommes : le sel, le napperon, l'allumage des bougies et tout ce qui y ressemble.<br /> <br /> <br /> Actes 20.7 Le premier jour de la semaine, nous étions réunis pour rompre le pain. Paul, qui devait partir le lendemain, s'entretenait avec les disciples, et il prolongea son discours jusqu'à minuit.
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C
Bien sûr.....
I
Shalom mes bien aimés,<br /> Je suis d'accord avec le frère Christian par rapport à la celebration de PessaH, il y a une date bien precise pour le faire et non tout les dimanches. Par contre à se qui conserne la fraction de pain bibliquement parlant, nous pouvons le faire à chaque fois que nous sommes ensemble avec les soeurs et frères.
K
Cher frère, crois-tu que nous paiëns, Christ est venu nous soumettre à ces rites? Le fardeau de Christ n'est-il pas léger et son joug doux?
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M
Concernant la sainte cène, j'aimerai bien avoir votre avis pour les Pasteurs qui demandent aux fidèles d'amener une offrande avant de prendre la sainte cène, est ce que c'est biblique?
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H
on ne paie pas pour la sainte cène, le prix de la sainte cène est la sainteté.
C
<br /> <br /> Bonjour<br /> <br /> <br /> je n'ais pas souvenir qu"il soit ecrit dans la Bible qu'il faille amener une ofrande avant la St cene. je pense que c'est une erreur ou un abus de pouvoir. Les offrandes sont libres et non<br /> imposées par qui que ce soit,et il il n'y a pas de moment privilegié pour le faire. Chacun doit agir selons son coeur...et non celui de son pasteur.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
Y
<br /> Lire 1Cor10: 16-22 11:23-32<br /> <br /> <br />
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